Tu doutes...

Tantôt blanc, tantôt noir Tu nourris mes espoirs Avec de jolis mots d’amour Qui se parent de velours

Tu dis oui, tu dis non Jamais sure, si c’est bon Tu promets puis tu nies Tu me laisse dans le vide... Le plus absolu

Et tu dis que tu n’es pas quelqu’un de bien, Que tu t’es égaré en chemin, Que tu es un solitaire Qui ne veut plus faire marche arrière.

Et je te dis que j’y crois, Que je sais lire en toi, Que j’aime tes faiblesses, Que je suis prête à tout pour que tu te confesses...

Rien qu’une fois mais...

Tu doutes, tu doutes, tu doutes, Et tu me perds, me perds, me perds Tu doutes, doutes, doutes

Et je paye le prix de tes douleurs passées Et je paye le prix d’avoir espérer que tu cesses de douter.

Je crois que maintenant j’ai les pieds sur terre. Je n’attend plus vraiment que les choses s’accélèrent,

Qu’on soit si similaires.

J’ai compris que dans ton monde, je n’avais pas ma place. Quand mon silence gronde, quand ta distance me glace. J’ai compris qu’il fallait que je parte sans même me retourner. Car depuis le début je n’ai jamais douter, pendant que toi...

Tu doutes, tu doutes, tu doutes, Et tu me perds, me perds, me perds, Tu doutes, doutes, doutes,

Et je paye le prix de tes douleurs passées, Et je paye le prix d’avoir espérer que tu cesses de douter.

Tout ce qu’il me reste à faire, c’est de laisser aller... Mes pensées dérivées sur le papier.

Tout ce qu’il me reste à faire, c’est de penser... Que ces mêmes phrases pourront te toucher, Une dernière fois... Avant de m’en aller.